miércoles, 25 de mayo de 2011

VOYAGE EN FRANCE

Hacedme un favor, entrad en www.capfranceandalucia.es, registraos y votad (con 5 estrellas) por un video del equipo VELAD, es de unas alumnas de 2º de la escuela y es para ganar un viaje a Montpellier (ellas). Han tenido que responder a unas preguntas y hacer el video. Gracias. Es hasta el 27 de mayo, ya os lo recordaré.

viernes, 13 de mayo de 2011

LES NOMBRES EN FRANÇAIS

Pourquoi en français on dit quatre-vingts, soixante-dix et quatre-vingt-dix? On ne l'utilise par tout, en certains régions de la France et en Suisse ou en Belgique on dit septante, huitante et nonante. Mais pourquoi?

Selon Wikipedia les peuples qu'il y avait en France avant d'être la France comptent de vingt en vingt, et cela serait l'origine.

"Dès la fin du Moyen Âge, les formes concurrentes trente, quarante, cinquante, soixante se répandent victorieusement. Pourquoi l’usage s’arrête-t-il en si bon chemin ? Aucune explication n’est vraiment convaincante. Peut-être a-t-on éprouvé le besoin de conserver la marque d’un « calcul mental » mieux adapté aux grands nombres (70 = 60 + 10, 80 = 4 × 20, 90 =80 + 10). Reste la part du hasard et de l’arbitraire, avec laquelle tout historien de la langue sait bien qu’il lui faut composer…"

http://fr.wikipedia.org/wiki/90_(nombre)

jueves, 5 de mayo de 2011

LA GRAND-PLACE DE BRUXELLES

La Grand-Place est la place centrale de Bruxelles. Mondialement renommée pour sa richesse ornementale, elle est bordée par les maisons des corporations, l'Hôtel de Ville et la Maison du Roi Elle est généralement considérée comme l'une des plus belles places du monde. Elle a été inscrite en 1998 sur la liste du patrimoine mondial de l'UNESCO. Lieu historique, elle a vu se dérouler de nombreux évènements heureux ou tragiques. En 1523, les premiers martyrs protestants, Henri Voes et Jean Van Eschen, y sont brûlés par l'Inquisition, quarante ans plus tard, les comtes d'Egmont et de Hornes y sont décapités. En août 1695, pendant la Guerre de la Ligue d'Augsbourg, la plupart des maisons, dont certaines sont encore construites en bois, sont détruites lors du bombardement de la ville par les troupes françaises commandées par le maréchal de Villeroy. Seules la façade et la tour de l'Hôtel de Ville, qui servait de cible aux artilleurs, et quelques murs en pierre ont résisté aux boulets incendiaires. Les maisons entourant la place furent reconstruites en pierre par les différentes corporations. Parmi celles-ci, la maison de la corporation des Brasseurs abrite aujourd'hui le Musée des Brasseurs.

À ne pas perdre le bar qu'il y a sous la Maison d'Espagne, c'est un bar où on trouve des espagnols pendus.